Le drame de Julian Assange, résumait en 2019 le journaliste Jack Dion, c’est d’être australien et non pas russe. S’il avait été poursuivi par le Kremlin, (…) les gouvernements se disputeraient l’honneur de lui offrir le droit d’asile. Son visage serait affiché sur la façade de l’hôtel de ville de Paris, et Anne Hidalgo mettrait la tour Eiffel en berne jusqu’au jour de sa libération (3). XXXXX
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(3)XXXXX Jack Dion, « Ah ! Si Julian Assange avait été russe… », Marianne, Paris, 19-26 avril 2019.