Bonjour !
Ce billet reprend des éléments d’une discussion tenue avec une amie chère au cerveau affûté, bio-ingénieure de formation. La « lettre à Charlie » en question (PDF), écrite par un professeur non médecin à l’Université de Bordeaux, est longue de 16 pages que je n’ai pas lues en entier, et j’explique plus bas pourquoi je n’y ai pas consacré plus de mon temps de lecture disponible, déjà très encombré. Lorsque je relève dans un texte des abracadabranteries patentes, je l’écarte, sachant qu’inévitablement des choses exactes peuvent y être avancées, qu’en général je trouverai ou ai déjà trouvées ailleurs, surtout si elles sont cruciales.
Je présente donc ceci au cas où les heures déjà passées à cette affaire qui a fait son « buzz » seraient utiles à l’une ou l’autre lectrice ou lecteur. Lire la suite