Je me souviens il y a quelques années, quand le tgv Bruxelles-Paris a ralenti avant d’entrer à Paris Nord; en pleine banlieue justement. Il faisait gris pourtant c’était au printemps; je me souviens avoir pensé que psychologiquement je me suis demandé comment on pouvait vivre dans un lieu pareil.
Elle est jeune, sans doute intelligente et sensible, belle, elle s’en sortira.
Je veux dire, la souffrance peut être une chance, c’est la base même du concept de résilience.
Si vous ne savez rien, êtes sans culture aucune, la liberté se résume à des choses dérisoires.
Jamais on n’aurait du créer ces ghettos pour pauvres que sont les banlieues. Ici on retrouve ce mélange de classe et de race, dans un espace clos où le plus petit incident finit en drame et où la vie semble ailleurs sans doute, pour les autres. Personne ne voudrait vivre là.
Pour votre information, allez voir les commentaires de la vidéo sur You tube ; vous verrez qu’on est loin du compte, très loin.
Bonsoir Guy,
Une belle année pour vous tout d’abord!
Je me souviens il y a quelques années, quand le tgv Bruxelles-Paris a ralenti avant d’entrer à Paris Nord; en pleine banlieue justement. Il faisait gris pourtant c’était au printemps; je me souviens avoir pensé que psychologiquement je me suis demandé comment on pouvait vivre dans un lieu pareil.
Elle est jeune, sans doute intelligente et sensible, belle, elle s’en sortira.
Je veux dire, la souffrance peut être une chance, c’est la base même du concept de résilience.
Si vous ne savez rien, êtes sans culture aucune, la liberté se résume à des choses dérisoires.
Jamais on n’aurait du créer ces ghettos pour pauvres que sont les banlieues. Ici on retrouve ce mélange de classe et de race, dans un espace clos où le plus petit incident finit en drame et où la vie semble ailleurs sans doute, pour les autres. Personne ne voudrait vivre là.
Pour votre information, allez voir les commentaires de la vidéo sur You tube ; vous verrez qu’on est loin du compte, très loin.