Youtube 20 septembre 2014 – Document du ministère français des armées
Bonjour!
Il y a chez nous de la guerre dans l’air. La probabilité de rencontrer un terroriste en actes, bien qu’inférieure à celle de mourir en prenant une voiture ou un train, a cessé d’être nulle en Europe.
Ailleurs, l’air est plus chargé.
Qu’un vent mauvais fasse connaître des massacres de civils à des pays appartenant à l’Otan, que ces massacres ne soient plus un privilège des territoires où la même Organisation de l’Atlantique-Nord lâche ses bombes, est une surprise sans nom et un scandale inexplicable pour quelques cervelles, qui préfèrent en guise d’activité mentale ranimer les vieux démons de la propagande de guerre. Démons universels et fort anciens, mais est-ce une raison. Lire la suite
Film réjouissant, déjà cité le 15 mars dans Condroz belge. Stop.
La peur des riches, la peur de leurs larbins: celle qu’ils éprouvent! Pas celle qu’ils inspirent. Stop.
– On entend parler d’Étienne Davignon, ces jours-ci.
– Oui. Il est vicomte.
– C’est moderne!
– En Belgique, les titres nobiliaires sont protégés par l’État.
– Yesse! Ils appellent ça une démocratie.
– Non. Deux démocraties!
– Ah oui! Selon la théorie de l’histrion Bart Le Tisserond.
– L’historien?
– Excuse-moi. L’historien Bart Le Tisserien. Dans son cas, histrion égale historien et réciproquement, comme dans toute égalité.
– Y a pas à dire, l’histoire est le lieu de tous les racontars.
– Indispensables! Quand t’es chasseur et que t’écris l’histoire des lapins et pour les lapins, les racontars sont indispensables.
– Davignon donc était l’autre jour à Radio Première, j’te dis, dans une émission qui s’appelle Le Grand Oral.
– Quelle audace!
– Tout à fait. Les journalistes ont le droit de lâcher la bride à la critique. C’est dans le titre de l’émission.
– Un titre nobiliaire.
– La Rtbf tout entière va être faite comtesse. Lire la suite
Attentats de Bruxelles: experts et contre-experts au pays des “deux ethnies”
Ha ! La Belgique? « Pourquoi pas deux races? » , s’exclame l’auteur.
Il s’appelle Samuel Gontier.
Il est français.
Il nous livre une salutaire et vivifiante revue critique des médias …français.
C’est une révolte de l’intelligence au pays de la bêtise …qui n’a pas de frontières.
Les métallos ont toujours été remuants et plutôt à gauche, y compris lorsque l’expression « de gauche » n’existait pas. Et les policiers et gendarmes ont toujours eu peur des manifs de métallos.
Il faut dire que la gendarmerie le mérite bien! Car elle existait déjà avant le pays lui-même, et elle a tué dans l’histoire plus d’ouvriers que de malfrats.
Or malgré une certaine déglingue du secteur, il y a encore des ouvriers, des techniciens et des employés de la métallurgie en Belgique. Ils ont des syndicats, c’est à dire trois fédérations, car la Belgique est le pays de la trinité. Lire la suite
La Belgique francophone avait déjà inventé le socialisme royaliste, par peur que la Flandre ne lâche le pays, qui est un royaume. Les socialistes, parti dominant l’électorat francophone, ont estimé à haute analyse que le roi serait un garant de l’unité du pays et que protégeant la royauté, on protégerait la Wallonie. Car cette dernière, en recherche d’une reconversion, aurait à craindre d’une éventuelle perte de la contribution aux budgets nationaux d’une Flandre récemment enrichie. Alors qu’au référendum dit de la question royale, en 1951, les francophones à majorité socialiste et libérale auraient volontiers liquidé la royauté, cette dernière fut sauvée par la Flandre, à l’époque encore rurale et déjà conservatrice. Précisons qu’il s’agit ici de l’unité géographique et administrative, car pour ce qui est de l’unité des patrons et des syndicats, celle-ci est nouée depuis longtemps, s’agissant des élites syndicales plus que de la base, bien entendu. Les syndicalistes socialistes médiatisés ne cessent de pleurer pour que vive la « concertation sociale », une musique, on ne sait trop pourquoi, si douce à leurs oreilles.
Après la baisse des ventes qui a suivi la fin du communisme en Europe, le mur de Berlin tombant en novembre 1989, et la fin de la guerre froide, le marché mondial de l’armement est aujourd’hui à nouveau au plus haut. Lire la suite
On s’amuse et on devient plus intelligent en écoutant la Parisienne Libérée. C’est doux, et c’est acide. C’est du bout des doigts, avec le sourire, et c’est comme un uppercut.
Nous avons au menu de ce numéro de 7 minutes 36 secondes, « le projet d’aérodrome à Notre-Dame-des-Landes (1974), une envoyée très spéciale en direct de Calais, du numérique féerique et la météo nucléaire d’Astrid, toujours au beau fixe ! »
Comme pour tout JT, les sujets retenus dressent le baromètre citoyen de la chaîne, son sens des priorités et des responsabilités.
Et pour ceux à qui ça n’échapperait pas: on ne voit pas les mains de la Parisienne.
Elles sont aux claviers.